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Incest



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Stephen Stevenson

Stephen Stevenson
Le Peintre du Regard

Stephen Stevenson Portraitiste Contemporain

English artist Stephen Stevenson, (Taylor Foundation), has lived in the languedoc region of France for 19yrs. Exhibited widely attracting press/awards for technique/originality. Selected for La Grande Motte" from 500 applicants November 2007 debued on the Cote d'Azur November 2008 awarded the "Prix du Conseil Général" Salon d'Automne in Albi, Tarn. February 2009 awarded bronze for "Refugees". Stephen Stevenson holds a BA Hons. degree in Philosophy and Sociology.

Personal Profile



BA Hons. (2.1) in Philosophy and Sociology at University of East Anglia. Awarded a post graduate diploma from the polytechnic of east London (1977).

Exhibitions - Expos

L'Abbaye Romane - Caunes Minervois 
Audes -  SW France
1 July - 31 August 2009

Salon des Arts Trébes  
Audes  - SW France
February 2009 - Bronze Medal

Salon d'Automne ALBI - Tarn
Nov - 2008
Prix Conseil Général du Tarn

Poussan - Sète - Hérault 
[ Foyer des Campagnes ]
Jul 2008 

Galerie Art & Fire
Sept 2007
NICE

l'Espace Riquet de Béziers
Hérault
Dec 2006

Espace Apollo Mazamet 
Tarn SW France
Mar - 2005

Maraussan - Hérault
Invité d'Honneur
Mar 2005

About Me

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Project Statement

I am an artist. I am a painter. I paint people. In fact I paint only close-up, emotionally expressive, images of real and imaginary people in vivid colours. My paintings are not so much about what people are doing and why but what they are feeling and perhaps, why.

Superficially, I paint because I like to express. I came to painting after many years of dabbling in graphics, sculpture, pencil drawing and photography. Today I work exclusively in oil. I choose to paint portraits because I believe portraiture better achieves my objectives.

Intellectually, my motives for my expressive pursuit and my reasons for my choice of subject matter are more complex. If I could articulate my reasons for my choice of subject matter, eloquently and precisely, (assuming though not accepting even the possibility that it can be done at all) I should have chosen to be a writer and not a painter.

Never the less, I do believe it contrary to instinct to dismiss our feelings and emotions as mere irrational mutterings. I would even suggest that the more we are in touch with our emotions and feelings the more we will understand the universality of our nature . Is it possible that through that understanding our capacity to realise our potential for goodness and kindness increases ? Not an entirely original concept and obviously I hold no exclusivity in the endeavour of proving such a goal. Not only that but at very best I could only play a minor role in the pursuit of that endeavour. Even so, I do firmly believe that my work at least tries to assist in the achievement of this objective.

My portraits are images of people in penetrating close-up. Capturing not so much individualism but in the end the generalities of types: images of sadness, of privation, togetherness, separateness, of perplexity, of happiness. They are not so much uplifting as enquiring and of examination; almost forcing the viewer to contemplate our similarities and universal qualities: to walk away from them deep in thought.

Many people have attested to the provocative nature of my work. I have found at the many exhibitions I have participated in that those who “see” my images appreciate them almost passionately. It therefore seems wholly appropriate that I should try to reach a wider audience. Appreciation is one pillar of my motivation but the feeling I have of “ yet so much more to do” is enigmatically more compelling.


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Some of my Favourite Books

 

le peintre du regard

"Foyer des Campagnes de Poussan." Seuls les portraits l’intéressent et son travail est une recherche picturale complexe et attachante sur la nature humaine. Desnoyer eut aimé ce nouveau fauve." Bairaille La Lettre de Séte Août 2008

Communiqué de Presse

On me demande souvent pourquoi je ne peins que des portraits, ce que à quoi je réponds que ces paysages de campagne, de mer et de nature morte me laissent généralement indifférent. Ceux que cette réalité intéresse n’ont qu’à aller s’acheter un appareil photo.

S’agissant d’expressionisme abstrait, je me dis que lorsqu’un contemplateur en est à se demander «qu’est-ce que c’est que ça ? », c’est que cela ne lui fait guère plus d’effet que du papier peint Il n’en demeure pas moins que pour moi, l’art du portrait impressionniste contemporain est une vaste étendue qui n’a
d’égal ; un véritable berceau de l’imagination et des discussions fertiles.

Tout d’abord, je trouve essentiel d’avoir ce que Descartes appelait « un point de départ ». Dans n’importe quel projet, et ce, quelle qu’en soit sa nature, on doit avoir un repère initial empreint de certitude, telle une vérité à laquelle se rattachent tous

les autres aspects du projet. En tant que portraitiste, mon point de départ est simplement « nous ». L’espèce à laquelle nous appartenons, notre seul référant, est avant tout autre chose nous-mêmes; est-ce là pour autant une vérité ? Ce « nous » n’en demeure pas moins un point de référence commun. Ainsi, nos humeurs, nos intentions, nos expériences passées, nos souffrances et mêmes nos ambitions sont figées à travers nos expressions. Cette interaction mutuelle n’est pas seulement perceptible, elle est indispensable à notre compréhension du monde. Elle est ce qui, instinctivement, nous permet de lire sur le visage de l’autre sa joie, sa tristesse, sa frayeur, son inquiétude, sa peur et bien d’autres signes encore car la liste est encore longue.

Ce sont là autant de « perceptions » que j’essaie de capturer sur la toile, en m’attachant à la fois à développer la compréhension mutuelle mais également la confiance. Reconnaître l’universalité de nos émotions nous aide à trouver notre place au sein de la société au sens large, et de fait, je pense, à mieux nous comprendre pour ensuite mieux comprendre le monde qui nous entoure. Mais ce n’est pas sans efforts que nous parvient cette compréhension car il ne suffit pas au spectateur d’un regard arbitraire et passif : il doit s’investir dans l’œuvre sous peine de constater son échec. Ce néanmoins véritable engagement est celui-là même qui paie. Ainsi, un portrait contemporain dans votre salon peut être le gage d’une quête éternelle, d’un objet de contemplation et pourquoi pas le prix du bonheur.

Le plus difficile pour moi est de capturer sur la toile ce qui ne se limite pas à l’universalité de nos interactions et expressions mais, sans doute, ce qui a davantage trait à l’intemporalité de celles-ci. Car, après tout, rien n’a changé depuis l’époque des premiers dinosaures sur Terre, celle-là même sur laquelle nous marchons encore aujourd’hui. Nous vivons dans un vaste cocon hermétique et alors que l’époque des dinosaures est révolue, notre entendement mutuel n’en est encore qu’à ses balbutiements ; pour preuve ces manifestations de méfiance, d’incompréhension et d’agressivité qui persistent encore, mais pourquoi ?

C’est donc en vain que j’ai l’espoir de contribuer par mon travail, si petite cette contribution soit-elle, à une meilleure compréhension de l’humanité.

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